FAME AND CHAOS :: New Haven :: Old Town Haven :: La Maison du Temps Perdu
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Synopsis
A New Haven, une téléréalité futuriste met en scène des héros et vilains dotés de pouvoirs surnaturels. Chaque combat et sauvetage est filmé et jugé par un public avide de drame. Les héros luttent pour la justice et la popularité, tandis que les vilains sèment le chaos pour accroître leur notoriété. Soutenus par des sponsors, chaque action est stratégique, entre quête de célébrité et pressions médiatiques. Mais dans cette société où tout est spectacle, certains se rebellent contre la marchandisation de la justice.
Futurs prédefs
STAFF
Liam Bluefield
Pseudo
Pseudo
Pseudo
Présentation de New Haven Hier à 8:34Le Narrateur
IV. Les Groupes Ven 4 Oct - 21:37Le Narrateur
1.Système de Combat Ven 4 Oct - 21:16Le Narrateur
2. Système de Missions Ven 4 Oct - 20:24Le Narrateur
3. Système de monnaie Ven 4 Oct - 19:37Le Narrateur
4. Système de Popularité Jeu 3 Oct - 9:15Le Narrateur
III. Le Contexte Mer 2 Oct - 19:48Le Narrateur
I. Le Règlement du forum Mer 2 Oct - 19:29Le Narrateur
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Mar 13 Déc - 14:42
Les situations ayant comme coeur des enfants et leurs affaires familiales n’étaient jamais simple à gérer. Une application aussi bête et méchante des lois, des textes et des normes brisaient régulièrement des familles et laissaient des plaies ouvertes qui ne se refermeraient jamais. Et malheureusement, Dreadnought n’était pas spécialement formée à devoir gérer des gamins. Après tout, elle les trouvait inutilement bruyant et du genre à s’exciter pour un rien. Un brin hypocrite pour celle qui, fut un temps, était une petite tornade.

Mais passons. L’étudiante de Shiketsu réussit à calmer un peu la fillette, avant qu’un appel visiblement urgent ne la force à devoir partir en trombe. Si l’écossaise ne savait pas véritablement de quoi il en retournait, elle se retrouvait cependant avec les conséquences de son interventionnisme dans les pattes, à savoir une petite fille perdue et tout de même sur la défensive. Elle allait devoir essayer d’être sympa.

“Bon… Petite… T’as un nom déjà ?”

“...”

“Super…” Elle soupira un peu, s’accroupissant pour se retrouver à la taille adéquate : “Ils sont où tes parents ?”

“...”

“Ils doivent bien être quelque part non ?”

“Je veux pas les voir…”

“Ah bon ?” Fit-elle en sourcillant un peu. L’hypothèse d’une fugue commençait à devenir un peu plus crédible maintenant, mais si jeune. “Ils sont méchants ?”

“Ils me frappent et me grondent.”

“Genre des fessées ? Ou plus ?”

Mais la gamine restait silencieuse. Obtenir des réponses n’était pas évident, et l’européenne ne pouvait pas simplement crier dessus et lui mettre des tartes jusqu’à ce qu’elle se mette à table. Elle devait déduire d’elle-même ce qu’il se passait, se mettre sur la voie pour que la petite puisse mettre les rails. Cependant, il y avait bien un détail qu’elle avait remarqué :

“Tu t’es faite mal à la cheville ?”

“Oui…”

“Quand ça ? Tu peux me le dire ?”

“...”

“Ce sont tes parents qui t’ont fait ça ?”

“Oui…”

“Et pourquoi ils sont méchants avec toi ?”

“Car… Car je n’ai pas d’alter…”

“Ils sont vraiment méchants…” Elle serra un peu les dents. Visiblement, elle se retrouvait avec un sacré connard en ligne de mire. Des parents qui battait leur fille pour une raison horrible. Comme si elle y pouvait quelque chose… “C’est ton papa, ou ta maman qui te tapes ?”

“Mon papa…”

“D’accord… Tu peux me dire ton nom ?”

“Ayaka Kawasaki…”

“Très bien, Ayaka, je vais te confier un secret. Tu vois, même si j’en suis pas l’air, je suis héroïne. Et les héroïnes, ça punit les méchants. Et ton papa, il a été très méchant avec toi.”

“Vous allez le punir ?”

“Il ne faut pas être méchant avec les autres, donc oui. Mais avant ça, je vais t’amener chez des gens très gentils, pour qu’ils puissent s’occuper de toi.”

Ce faisant, elle sortit son téléphone, appelant les services adaptés et gardant la petite Ayaka le temps qu’ils arrivent. Elle n’eut aucun problème à la confier, mais sitôt qu’elle pu et qu’elle eu les renseignements adaptés, elle s’éclipsa. Elle avait une mission à faire.
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Mar 13 Déc - 14:43
*Toc toc*

Deux coups secs à la porte, avant que quelqu’un ne vienne lui ouvrir. Une femme, l’air particulièrement nerveuse, était en train de s’agiter à gauche à droite. Affolée, elle avait ouvert la porte presque comme si elle s’attendait à ce que la solution à toutes ses inquiétudes ne vienne sonner. Cependant, face à l’écossaise, son visage vint à se transformer, devenant plus triste, presque déçu avant que les politesses d’usages ne prennent place.

“Mme Kawasaki je présume. Est-ce que votre mari est là ?”

“Euh… Oui, il travaille. Vous êtes ?”

“J’ai à lui parler. Mais il serait préférable que soyez également présente.”

“A quel sujet ?”

“Votre fille.”

“Oh ! Entrez, je l’appelle tout de suite.”

La femme parti en catastrophe pendant que l’écossaise eu le luxe de rentrer. L’appartement était plutôt cher, spacieux, ce qui laissait penser que la famille avait les moyens de se vivre aisément. Cependant, chaque foyer avait ses problèmes, et il était temps d’enfoncer les portes les plus sombres et de confronter les démons. Ainsi arriva le père de famille, un homme bien habillé, bien coiffé, bien peigné et surement bien parfumé si elle en avait quelque chose à faire.

“Faites vite, mon temps est précieux.”

“Ça concerne votre fille.”

“Oui, mais ça ne change rien.”

“Très bien, je vais en venir directement aux faits.”

L’écossaise soupira un peu, avant de s’approcher de l’homme, et lui décocher une droite directement dans l’estomac ! Face à cette violence, son épouse cria, pendant que l’héroïne le choppa par la cravate avant de le plaqué contre une fenêtre avec violence :

“Ça fait quoi hein ? De se retrouver frappé par quelqu’un d’autre ?! Pose cette question à ta putain de fille, car c’est ce qu’elle doit ressentir à chaque fois que tu t’en prends à elle !”

A chaque pause, elle le brusquait un peu plus. La violence. La seule manière de faire passer un message. A quoi bon y aller avec les formalités ou les procédures lorsqu’un type comme ça finirait toujours par s’en sortir. Elle le savait bien, elle s’était renseignée un tout petit peu juste avant, et ce qu’il annonçait juste ensuite ne fut qu’une confirmation de plus.

“Je suis chargé de mission au ministère de l’intérieur, je vous ferai regretter ça !”

“Ah oui ?”

Elle vint à le repousser une nouvelle fois de plus, le faisant cette fois-ci passer à travers la fenêtre et le tenant uniquement par le col. A sa moindre envie, elle pourrait le faire chuter de plusieurs étages, et en s’efforçant un peu, elle pourrait même le faire atterir juste sous les roues d’un bus.

“Tu m’fais pas peur merdeux !”

“Aaah pitié !”

“Et pourquoi j’devrais en avoir ?! T’en a eu à l’égard de ta fille lorsque tu la frappais ?! T’en a eu lorsqu’elle pleurait ?!”

Mais elle ne comptait pas priver une gamine d’un parent. Elle le ramena à l’intérieur, avant de le balancer au milieu de la pièce.

“Les flics sont déjà au courant. Votre fille est avec eux. Et maintenant, lorsqu’ils seront là, j’espère que tu passeras à table et qu’tu seras bien précis sur tout ce que tu lui as fait. Et essaye pas de magouiller. Car sinon je reviens. Et cette fois-ci, t’en réchapperas pas.”

Elle commença à tourner talon, son devoir accomplit, mais il restait une chose qu’elle devait indiquer :

“Je serais là pour te démolir si tu fais un pas de travers. Foi de Dreadnought.”

Elle venait consciemment d’annoncer son identité. Elle savait qu’il y aurait des répercussions, que ce type, forcément, allait chercher à lui foutre à l’envers. Mais elle s’en foutait. Selon elle, elle venait de faire la bonne chose. Elle venait de faire passer un message. Et si c’était nécessaire, alors la factrice qu’elle était aurait une deuxième levée. Pour le reste… Elle aviserait.
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