FAME AND CHAOS :: New Haven :: Central Park Haven :: Fête Foraine
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Synopsis
A New Haven, une téléréalité futuriste met en scène des héros et vilains dotés de pouvoirs surnaturels. Chaque combat et sauvetage est filmé et jugé par un public avide de drame. Les héros luttent pour la justice et la popularité, tandis que les vilains sèment le chaos pour accroître leur notoriété. Soutenus par des sponsors, chaque action est stratégique, entre quête de célébrité et pressions médiatiques. Mais dans cette société où tout est spectacle, certains se rebellent contre la marchandisation de la justice.
Futurs prédefs
STAFF
Liam Bluefield
Pseudo
Pseudo
Pseudo
Présentation de New Haven Hier à 8:34Le Narrateur
IV. Les Groupes Ven 4 Oct - 21:37Le Narrateur
1.Système de Combat Ven 4 Oct - 21:16Le Narrateur
2. Système de Missions Ven 4 Oct - 20:24Le Narrateur
3. Système de monnaie Ven 4 Oct - 19:37Le Narrateur
4. Système de Popularité Jeu 3 Oct - 9:15Le Narrateur
III. Le Contexte Mer 2 Oct - 19:48Le Narrateur
I. Le Règlement du forum Mer 2 Oct - 19:29Le Narrateur
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Lun 2 Jan - 3:53
  Le simulateur de catastrophe ? Il s’agissait là d’un bâtiment impressionnant, à la fois au niveau technologique et architectural. Un petit bijou technologique au service de la caste héroïque de ce pays. Du côté de Milly, la jeune vilaine n’y voyait qu’un tremplin pour se faire connaître. En effet, ce bâtiment représentait pour elle le parfait compromis. D’un côté, l’opinion publique ne semblait pas vraiment concernée par cet édifice, et de l’autre, les lycées héroïques de la villes en avaient un besoin certain, en faisant donc un lieu à la fois discret et sécurisé. Parvenir à laisser son emprunte dans le système informatique du centre permettrait à la demoiselle de faire monter la cote de son identité criminelle.

  Seulement voila, il y avait des obstacles certains à franchir pour y arriver. Bien entendu, Milly y travaillait depuis un certain temps déjà. La vilaine se heurtait à un problème principal : le réseau de ce centre fonctionnait majoritairement en local, limitant fortement les possibilités de s’y introduire à distance. Il ne lui restait alors qu’une solution : s’infiltrer elle-même au simulateur de catastrophe et tout faire sur place. Elle avait fait fonctionner son réseau pour obtenir les informations nécessaires à cette opération qui semblait déraisonnable. Le fait qu’elle souhaite s’en prendre au bâtiment et non au personnel des académies ou aux élèves lui sauvait bien la mise. En effet, cela lui laissait beaucoup plus de fenêtres de tir.

  Le jour fatidique arriva d’ailleurs bien plus vite qu’il en eut l’air. Le plan bien en tête maintes et maintes fois répété dans de fausses mises en pratique, Milly se dirigeait vers un endroit bien précis. Un homme, la quarantaine bien tassée et mécanicien de métier se trouvait dans son viseur. Elle avait ouï dire qu’il avait déjà travaillé sur l’entretien du simulateur de catastrophes. Qu’elle en arrive là aujourd’hui prouvait sa détermination et elle n’hésita pas une seconde lorsqu’elle se trouva dans le dos de l’homme en question. D’un pas décidé, elle se jeta sur lui en activant son alter, son corps disparaissant en un instant en pénétrant dans celui de sa cible. A partir de cet instant, plus question de flâner, il fallait faire vite. Même si les étoiles semblaient s'aligner pour elle puisque l’individu ne possédait pas d’alter, facilitant l’usage du sien, elle n’avait pas non plus un temps infini devant elle, les minutes défilaient.

  Non loin du simulateur, elle l’atteint tout de même au bout d’une dizaine de minutes de voiture, tentant tant bien que mal d’ignorer les complaintes de sa victimes qui se faisaient entendre dans son esprit. Tout semblait se dérouler selon son plan lorsqu’elle arriva sur les lieux, ce grand dôme déployant alors toute son envergure de près. Elle essayait de rester le plus naturel possible, toujours dans cette apparence de quadragénaire, portant une boîte à outil qui ne lui servirait de toute façon pas. Elle prit tout de même la peine de jeter un oeil à l’enceinte principale du bâtiment, s’assurant qu’elle soit vide, même si elle ne pouvait réellement s’en assurer d’un simple coup d’oeil au vu de la taille gigantesque de la salle principale. D’après ses sources, il ne devait y avoir personne, mais elle ne perdait rien à rester rigoureuse. Sans plus attendre, elle fila vers la salle importante pour elle : la salle de contrôle. C’est à partir de là qu’elle pourrait tenter d’infiltrer le système.

  Le plan sur lequel elle avait pu mettre la main semblait à jour, au moins sur cette partie puisqu’elle trouva rapidement la pièce. Jetant un dernier coup d'œil aux écrans de surveillance pour s’assurer de sa solitude, elle commença en sortant son ordinateur de son sac et commençant à pianoter dessus. A partir de cet instant là, le monde autour d’elle cessait d’exister à ses yeux. Du moins, il restait cette voix dans sa tête, celle du corps qu’elle empruntait. Pour essayer du mieux qu’elle pouvait de l’ignorer, elle se mit à chantonner, à voix basse.

"Baby cat tutututu, baby cat tutututu, baby cat ♪♫"

  Il s’agissait certes d’une chanson pour enfant, mais ça la rendait terriblement efficace à fredonner sans avoir à y réfléchir pour masquer ce bruit ambiant qu’elle seule entendait. Alors qu’elle parvenait à toucher du doigt certains accès, elle tenta d’influencer un paramètre pour voir s’il se répercutait bien sur les installations du centre. Le débit d’eau de la zone des sinistres maritimes augmenta alors soudainement, un débit qui devait probablement être inhabituel. Rien qui n’allait faire de dégâts notables, mais suffisamment pour qu’elle puisse en voir l’effet sur les écrans présents à côté d’elle. En relevant la tête vers les écrans en question, les yeux de la vilaine, du moins ceux du corps qu’elle empruntait, s’écarquillèrent. Milly voyait bien des individus de l’autre côté de cet écran, il ne s’agissait pas d’un phénomène optique ou de son esprit qui lui jouait des tours. Il y avait bien des gens qui se dressaient là, sous ses yeux. Trop concentrée sur sa tâche, elle n’avait pas regardé les écrans depuis de longues minutes et maintenant qu’elle avait signalé sa présence de manière indirecte, tout allait se compliquer.
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Mer 4 Jan - 15:08
« Un être vous manque et tout est dépeuplé», paraît-il… je parle de mon simulateur de catastrophe, évidemment. Il me faut régler de la paperasse administrative à mon bureau, trier des dossiers d’étudiants et de leurs alters, faire le point sur les résultats, les futurs examens, beaucoup de choses un peu rébarbatives mais nécessaires. Je ne me plains pas, j’aime bien les papiers et remplis des tableurs excel (personne ne sera surpris). Mais je préférerais travailler sur mes propres recherches et sur le simulateur. Au moins, le temps ne sera pas perdu, comme quelqu’un doit venir faire quelques vérifications des locaux et des installations, afin de confirmer que tout est en état de marche et sans danger. C’est obligatoire de faire ça plusieurs fois par semaine. Je l’attends pour 14h précises. Le logiciel devrait me notifier son arrivée avec son signalement a l’horaire prévu… je serais plus rassuré une fois qu’il aura fait son travail et qu’il sera parti. C’est que, ces temps-ci, les outils sécurité virtuels du simulateur m’ont signalé des tentatives d’intrusion. Rien qui sorte vraiment de l’ordinaire car ce genre de choses arrive plus souvent qu’on pourrait le croire. Mais celles-ci étaient plus persistantes et surtout, impossibles à retracer. Malheureusement, je ne suis pas un crack en informatique et je ne comprends pas tout. Dans tous les cas, l’on m’a suggéré de redoubler de vigilance et d’appeler quelqu’un de confiance pour renforcer tout ça, sait-on jamais. Et moi et la confiance… urgh.

Ma tablette émet un bref son lorsque la notification de 14 heures s’affiche. Au moins, il est ponctuel (à 23 secondes près). J’espère que tout va se passer sans encombre… j’ai organisé mon planning pour terminer ma paperasse à une heure précise et j’aimerais ne pas avoir à attendre quand je retournerais à mon simulateur. Tout semble normal jusqu’au point où je reçois des pop up plus alarmants sur mon dispositif.

« …huh…. ?! Comment ça « Achtung » ?? »

Je suis déjà debout avec ma tablette dans les mains et dirigé vers la sortie du bureau.

« “Achtung steigender Wasserspiegel” ? WAS IST DAS ?!  »

Je n’ai pas demandé au type de la maintenance de faire mumuse avec les niveaux d’eau ! Il s’est cru en slip à la plage avec pépé, mémé et sa daronne sur un paddle ou quoi ?! Les alertes dans ma langue maternelle se multiplient sur l’écran. Niveau d’eau en augmentation, niveau d’eau en augmentation, niveau d’eau— Oui, bon, bref. Je suis en route au pas de course et je sens déjà que je vais être bien trop essoufflé en arrivant en raison de ma constitution. Ça n’a pas manqué, en arrivant dans la zone du simulateur, je souffle comme un bœuf diabétique. L’alarme ne s’est pas déclenchée dans le bâtiment, évidemment, donc je dois le faire manuellement. Une sonnerie stridente se déclenche et ordonne aux personnes présentes dans le bâtiment d’évacuer.

Entre deux souffles rauques qui me permettent de récupérer, je m’interroge sincèrement sur comment tout ça a pu arriver sans que je ne voie rien venir. Quelqu’un a peut-être désactivé les systèmes de sécurité censés alerter sur un niveau d’eau critique, je suspecte donc que notre chargé de maintenance n’a pas de si bonnes intentions… Nom de dieu. Je m’étais personnellement chargé de tout vérifier à son sujet avant et je ne me serais aperçu de rien ?!

Je me saisis de ma clé pour emprunter la porte de derrière. Si les lieux sont inondés, je ne toucherais pas à l’entrée principale. Et j’espère que personne ne—

« … Qu’est-ce que vous faites là ? Vous entendez pas l’alarme ? C’est une urgence, je veux pas vous voir par ici. »

C’est une élève, elle n’a pas quitté le bâtiment comme elle le devrait et je ne sais pas ce qu’elle attend à trainer dans le coin. Je sais qu’il est de ma responsabilité de veiller sur les étudiant.e.s, mais s’iels passent leur temps à trainer dans mes pattes quand iels devraient être ailleurs, ce sera pas de ma faut s’il leur arrive des bricoles ! Cependant, ma mémoire s’active, car il me semble reconnaître le visage de la jeune femme. Les cheveux blancs, les yeux rouges et les oreilles allongées, même dans une école de super héros, ce n’est pas si commun.

« Ah. Attendez. C’est pas vous qui avez un alter aquatique ? »

Bien sûr que c’est elle. Mon cerveau ne me ferait pas défaut, quand même. Je ne lui laisse pas vraiment le temps de répondre, car je viens d’ouvrir la porte de secours, après que ma carte ait fait émettre un « bip » au lecteur. Par là, nous devrions accéder directement à la salle de contrôle et voir de quoi il retourne.

« Venez avec moi, vous pourriez être utile si les niveaux d’eau font exploser l’entrée et les vitres. »

Je devrais donc prendre mes responsabilités s’il lui arrive quelque chose. Urgh… ça m’embête mais ça fait partie du travail. La porte s’est ouverte sur un escalier en métal qui monte vers la salle de contrôle. Il nous restera une porte à ouvrir une fois en haut pour voir les commandes. Mes poumons chouinent d’avance à l’idée que je vais devoir refaire des efforts. Mais bon. Quand faut y aller… Et je ne peux pas demander à l’étudiante de passer avant moi.
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Jeu 5 Jan - 16:01




De la terre, de l'air et de l'eau, de l'eau, de l'eau.. Hé ça fait un peu beaucoup d'eau quand même, non ?


La belle avait enfilé sa combi de super-héroine pour aller sur le site du simulateur catastrophe en moto. Pas plus renseignée que ça à part pour le fait que cela pourrait être un stress test de ses capacités, selon que le responsable des lieux, le prof Climate Change, ait fortement besoin de ses capacités ou pas.  En soit une corvée comme une autre, mais pas spécialement pour Shio qui n'avait pas grand chose d'autre de prévu ce jour-ci, pourquoi pas gagner des points gratuitement et facilement ?

Elle arrivait au point de contrôle et le gardien râlait déjà de se faire déranger pendant sa pause déjeuner. Poussant du pieds sa chaise jusqu'au guichet, il attrapait les papiers puis sortait un badge avant de consigner les dits papiers qu'on lui rendrait à la sortie. Badge sur elle, la fille aux cheveux blancs poursuivait son entrée dans le simulateur, observant dans la grande baie vitrée le terrain d'exercice pour l'instant plongé dans une sérénité toute propre à ces espaces clos. L'herbe était tout de même brossée par des vents calmes, les arbres se balançaient, mais pas d'oiseaux en vue, pas d'insectes, juste de la terre, de l'air, et de l'eau. Elle se rendait à la salle des opérations pour son briefing, ou plutôt le briefing du personnel, avec elle en "petit plus", puis on lui confia un appareil de communication et évidement un chaperon avant de l'envoyer sur la zone du simulateur. Son chaperon faisait un travail des plus barbant, principalement s'occuper du bien être de l'écosystème artificiel. Faire en sorte que l'herbe soit bien verte, que la terre soit meuble au bon pourcentage, degré d'humidité, nutrition des arbres, bla bla bla...

La fille aux cheveux blancs se sortait de se cauchemar en acceptant la proposition du type de "faire un tour pour passer le temps" le temps qu'il s'occupe de son job. Elle déambula donc la où elle pouvait, jusqu'à que l'alarme s'enclenche. Que faire ? Techniquement elle devait se diriger vers l'extérieur, mais elle était là pour aider en cas de pépins, à moins que cela soit hors de ses capacités, et comme son chaperon s'était fait la malle...
Undine se dirigea vers la première personne qu'elle vit, un monsieur robuste et pantelant, apparemment plus en panique qu'elle, et de mémoire le maître des lieux. L'aspirante héroïne levait la main avant d'ouvrir la bouche, mais le mouvement brusque du type qui failli la percuter l'empêcha d'émettre un son. Elle eut un mouvement de recul pour se retirer de la trajectoire de Climate Change. Visiblement la mémoire du trentenaire lui jouait des tours, Shio ne pouvait pas lui en vouloir, entre ses machines capricieuses et ses subordonnés, le Techniker Meister devait avoir autre chose à penser que les éléments qu'on lui collait dans les pattes, ça et l'alarme avait l'air de l'inquiéter sévèrement. Evidement le bonhomme lui demanda ce qu'elle faisait ici, ce à quoi elle ne répondit pas verbalement, préférant sortir son habituel regard équivoque d'un "t'es sérieux là ?" tout en levant le badge signifiant qu'elle était une "aide technique".
C'était plus les traits spécifiques de la demoiselle qui la sortait de ce quiproquo alors que l'alarme continuait de s'époumoner, Climate Change trouvant dans un recoins de sa mémoire les éléments qui lui manquait, ce à quoi la fille aux oreilles pointues voulu répondre en s'inclinant alors que l'homme ouvrait la pièce à côté, signe qu'il n'était pas particulièrement intéressé à l'entendre parler, préférant faire biper sa carte et s'avancer en lui demandant de joindre son initiative.
Le bonhomme se dirigeait vers la salle des commandes, logique de son point de vue, même si peu utile du côté de l'aspirante héroïne, vu le mojo jojo jumbo du jargon technique ne lui disait pas grand chose. Il avait émit l'hypothèse qu'elle pourrait lui servir à supporter la charge d'eau si elle venait à faire exploser l'entrée et les vitres, ce à quoi elle avait presque haussé un sourcil en se demandant s'il était sérieux. Un effort pareil pouvait la faire tenir quoi, deux, trois minutes grand maximum  avant d'être engloutie par les flots ?
"Hé ben, espérons qu'on en arrive pas là et que les pompiers seront avertit avant.." pensa la fille aux cheveux blancs sans le dire tout en se focalisant sur le plan du système de circulation aquatique qui s'affichait en grand avec plusieurs éléments rouges. Dur de dire ce qu'elle observait vraiment, c'était le genre de panneaux de contrôles remplit de diodes et de moniteurs avec des jauges vertes et rouges, des éléments qui clignotent sur des feuilles ressemblant à des panneau Excel, bref, que des choses techniques où une personne non initiée ne verrait que des problèmes partout sans voir ni d'où ils viennent ni de quoi il s'agit.
-On peut pas simplement fermer la vanne et ouvrir les drains ? demandait curieusement et innocemment Shio.

Ca avait l'air simple dit comme ça, restait qu'il fallait pouvoir les activer depuis la salle de contrôle, et dans le cas échéants, peut-être que cela voulait dire se rendre à l'endroit où se trouvait la vanne ou la valve pour la tourner ou l'ouvrir, en espérant que celles hors d'eau soient accessibles et pas inondées. Avec un peu d'imagination, l'on pouvait se figurer un futur jeu d'attrape souris, ou tout pendant que les souris tentaient d'attraper le fromage métaphorique, un chat malicieux pourrait tenter de créer des labyrinthes, poser des pièges pour les empêcher d'arriver à leur fin. Pour l'instant Shio n'avait pas particulièrement pensé à un acte terroriste ou de banditisme, cela ressemblait pour elle à une erreur possiblement commune et sans grande conséquence. Enfin celle-ci avait l'air quand même un peu corsée, au point que cela voulait peut-être dire pas d'exercice en simulation cette année si l'intégrité du site était compromise.
La jeune fille se concentra, prête à l'action, attendant les directives ou les idées du technicien en maître.

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